Steam Says F*CK YOU! to Game Publishers

Steam est souvent blâmé pour les erreurs des éditeurs de jeux, même si ces erreurs ne sont pas de leur fait, car les consommateurs associent les problèmes rencontrés aux plateformes sur lesquelles ils achètent les jeux. Ainsi, Valve essaie de protéger sa réputation en mettant en place des politiques qui obligent les éditeurs à mieux respecter leurs promesses de contenu futur, en facilitant les remboursements lorsque les éditeurs ne livrent pas les DLC promis.

Steam a changé ses politiques concernant les passes de saison, exigeant que le contenu futur soit clairement défini et qu'au moins un contenu soit déjà disponible lors de l'achat de la passe. Ils imposent également des remboursements si des DLC promis sont annulés, ce qui est perçu comme une victoire pour les droits des consommateurs. Cependant, il est souligné que cette régulation devrait être faite par les lois plutôt que par une seule entreprise pour éviter le monopole.

La nécessité d'un service comme incog pour protéger les données des utilisateurs est abordée, soulignant un problème plus large de gestion des données. Steam impose maintenant que chaque pass de saison contienne une liste détaillée des DLC inclus, une description de chaque contenu, et une date de sortie prévue, tout cela pour augmenter la transparence et la confiance des consommateurs.

Valve impose des restrictions pour garantir que les passes de saison aient au moins un DLC déjà disponible au moment de l'achat, et que toute annulation de contenu entraîne des remboursements. Des exemples de conformité et de non-conformité aux nouvelles règles sont donnés, illustrant comment certaines entreprises comme Ubisoft ont dû rembourser les clients dans le passé pour des promesses non tenues.

Valve a mis en place des règles strictes pour protéger les consommateurs contre les passes de saison qui ne tiennent pas leurs promesses, et cela inclut des remboursements forcés si le DLC est annulé ou retardé de manière significative. Des exemples de conformité et de non-conformité illustrent l'application de ces règles. Toutefois, la discussion indique une préoccupation concernant le pouvoir de Valve à réguler un marché entier.

L'impact de ces nouvelles règles sur les petits et grands développeurs est discuté. Les petites entreprises peuvent faire valoir que c'est trop strict, mais la position générale est que les consommateurs doivent être protégés contre les promesses non tenues, quel que soit l'impact sur les développeurs. Cette politique pourrait inciter les développeurs à sortir des DLC inachevés pour éviter les pénalités, bien que le respect de la réputation soit également un facteur.

Valve a fixé des délais pour les DLC de passes de saison, permettant un seul report de trois mois. Au-delà de cela, les développeurs doivent négocier avec Valve. Cette mesure vise à éviter les abus et à protéger les consommateurs, tout en reconnaissant que parfois les développements prennent plus de temps que prévu.

La vidéo souligne l'importance de tenir les entreprises responsables de leurs promesses et appelle à une meilleure autorégulation au sein de l'industrie. Toute cette initiative de Valve est vue comme positive bien qu'elle souligne le besoin de régulations formelles au-delà du secteur privé pour éviter que des compagnies individuelles contrôlent le marché.

L'importance de la réglementation des passes de saison est mise en avant, bien que cela soulève des préoccupations quant au pouvoir monopolistique potentiel de Valve. La vidéo discute de la nécessité de lois pour réguler le marché afin de ne pas laisser une seule entreprise dicter les termes de l'industrie.

Anecdotes sur la gestion des promesses dans l'industrie des jeux vidéo, où même des grands éditeurs ont échoué à livrer du contenu promis. Cela met en évidence la nécessité des politiques imposées par Valve, bien qu'il soit noté qu'un tel contrôle par une compagnie unique pourrait être préoccupant.