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toute la semaine nous vous emmenons à la
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découverte de l'inra et l'institut
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national de recherche agronomique qui
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est devenu l'institut national de
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recherche pour l'agriculture
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l'alimentation et l'environnement ont
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commencé ici à sophia antipolis
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les ingénieurs cherchent des solutions
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pour nos agriculteurs pour les aider à
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lutter contre les ravageurs que ce soit
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sur les pommiers et les poiriers les
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châtaigniers les noisetiers ou encore
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les fruits rouges ça se passe dans un
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bâtiment sous haute sécurité venir
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nivard
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avec benoît l'autre et fabrice grain on
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entre dans antheaume aux polices donc
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littéralement la ville des insectes ici
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en fait on va élever d'un côté les
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ravageurs et de l'autre les insectes
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auxiliaires ceux qui vont finalement
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nous aider dans la lutte biologique
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ce bâtiment est sous haute sécurité il
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faut faire très attention aucun insecte
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ne doit sortir d'ici c'est pour ça qu'il
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ya des saf et des tenues le bien
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spécifique venez on va voir les élevages
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et
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donc là ici en fait on voit dans chaque
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salle il y à des élevages et ici c'est
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l'élevage des masses truths bonjour
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isabelle alors jours expliquez-nous un
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petit peu ce que vous êtes en train de
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faire
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donc là je fais actuellement en train de
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récolter en fait les mâles et les
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femelles les comptabiliser de mme astrid
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ainsi donc elle parasitoïdes du
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carpocapse de la prop donc pour bien
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comprendre le carpocapse c'est le
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ravageur que l'on veut détruire et le
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mas rue c'est finalement notre allié
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celui qui va venir parasiter c'est
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l'ennemi naturel d'accord alors
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justement à permettre de réguler les
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populations c'est ça donc c'est ma
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souris ils ont été ils ont été lâchés
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dans la nature et donc on va aller
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analysé justement
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et les résultats merci et bonne journée
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armés
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donc nicolas bord et que vous êtes
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ingénieur ici pour la lutte biologique
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spécialement sur l'acclimatation avec
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ses petits parasitoïdes oui exactement
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donc avec l'interdiction de plus en plus
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vendre des produits phytosanitaires les
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agriculteurs ont besoin aussi de méthode
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pour lutter contre les ravageurs et
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c'est ce que vous proposez avec des
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travaux mais il ya tout un tas de
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méthodes alternatives qui sont
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développés pour justement pas liée à
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la disparition de certaines matières
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actives donc dans le cadre du carpocapse
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de la pop
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sur les pommiers par exemple il ya des
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filets qui sont mis en place et la
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confusion sexuelle ou de l'utilisation
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de virus hautement pathogène est en fait
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une autre méthode alternative c'est la
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lutte biologique donc nous on vient en
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complément de ces méthodes alternatives
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voilà avec avec la vie biologique par
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acclimatation
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donc là ici le travail que vous faites
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sur le parasitoïdes pour les pommiers il
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est encore en cours et il y à des
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travaux qu'ils sont terminées notamment
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en 2011 avec les châtaigniers encore ce
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que vous avez quelque part un peu sauvé
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oui alors la lutte biologique par
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acclimatation contre le cynips du
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châtaignier c'est vrai que c'était un
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vrai succès à la fois agronomique mais
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aussi scientifique quand on est arrivé à
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la fin de ce procès qui a duré quand
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même assez longtemps que ce qui s'est
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terminée en 2018 donc sept ans après
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avoir commencé on trouvait pratiquement
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plus de galles sur les arbres lesquels
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on avait initialement la ceni et tori
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musinens si c'était vraiment très
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spectaculaire
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allons voir à présent un exemple concret
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de lutte biologique vous en avez
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sûrement chez vous c'est les fameuses
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punaise diabolique elles viennent d'asie
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et donc on cherche un parasitoïdes qui
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vient lui aussi d'asie
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donc alexandre beau bonjour vous êtes
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ingénieur en plus tôt mollo gist voilà
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et là alors on n'a pas forcément envie
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de les voir parce qu'on en a déjà
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souvent chez nous mais vous élever des
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punaises voilà j'élève des punaises et
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notamment j'élève la fameuse punaise
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diabolique à lyon morfin alice donc une
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punaise qui est invasive en france
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depuis quelques années et qui nous
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arrive on va dire des pays asiatiques la
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chine le japon la corée et donc on a des
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insectes parasitoïdes qui sont adaptés à
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nos qu'une est verte chez nous
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malheureusement depuis que alomar fai
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alice est arrivé en france on n'a pas de
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parasitoïdes qui soit réellement adaptée
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à cette peine là donc ils vont chercher
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les oeufs mais ils n'arrivent pas à
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développer donc on n'a pas de nouveaux
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parasitoïdes une génération plus sains
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plus de bus 3 et donc notre travail
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c'est de bien comprendre le cycle de
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cette punaise là est de trouver un
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candidat qu'on pourra utiliser et ce
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candidat là c'est un candidat qu'on a
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été chercher
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plutôt dans les pays asiatiques dans la
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zone d'origine de la punaise
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nous chez nous me gêne mais les bons
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gros problème c'est vraiment au niveau
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de l'année alors oui alors elle est
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gênante pour les hommes parce que elle a
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des phases d'agrégation l'hiver dans les
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habitations ou dans les structures et
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donc on l'a moins massivement et c'est
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gênant mais elle l'a comment dire une
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quantité de plantes hôtes sur laquelle
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elles puissent mourir absolument très
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importante c'est qu'on parle de 150
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familles de plantes hôtes et donc elle
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est capable d'attaquer à peu près toutes
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les plantes compétitive ça va des
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vergers ça peut être du maraîchage ça
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peut être de la vigne et dans les
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vergers on parle des fruits à noyaux des
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fruits est pas des fruits à coque c'est
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à dire y compris la noisette et elle
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fait actuellement beaucoup de dégâts on
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va dire
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aux alentours des vosges sur pommes
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poires et elle en fait aussi beaucoup
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dans le sud-ouest de la france sur
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noisette et on s'attend à voir des
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niveaux de dégâts comme en italie c'est
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à dire avec des pertes de 80 90 % des
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rendements moi je vous remercie je vois
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que vous vous êtes très à l'aise avec
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des insectes ne sait pas forcément notre
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came donc on va repartir pour vous
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laisser travailler merci beaucoup merci
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merci
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